2000 vint et UN peu dur les vœux cette année,
UN peu dur les belles phrases au sens si étherable,
UN désir de concret, une UNcarnation des belles valeurs de joie, de partage, d’amour, de quotidien enracinée dans UN réel fertile et élancée vers UN rêve d’Humanité bienveillante, courageuse et joyeuse
UN contre-pied urgent car par peur de la mort, tout ce qui permet de faire société est masqué et la peur gouverne. Elle accule l’humain à ses réflexes de survie primitifs : face au danger 3 solutions : fuite, inertie ou attaque. Naturellement la situation se résout assez vite : soit le danger est fatal, soit il est éloigné et la vie reprends son cours, festivement, jusqu’à la prochaine fois et jusqu’à la dernière fois, qui fait partie aussi du cycle de vie.
Depuis que « Nous sommes officiellement en guerre » contre le covid, le stress omniprésent occulte toute vision globale et à long terme et la vie ne peut « légalement » reprendre son cours avec ses ressourcements de partage, de chaleur humaine, de joie des sourire et puis … petit détail, la joie de la liberté est confisquée. La légitime colère que cela suscite est illégalisée et la peur monte encore. Le gouvernement fait miroiter un vaccin libérateur et à l’inocuité très controversée, pour revenir à une « vie normale » ; une vie normale dans laquelle le confinement fait consentir à une augmentation de temps de vie capté par les écrans, une omniprésence du contrôle numérique, où les dépenses énergétiques pour des technologies robotisantes au détriment de l’humain sont vus comme un progrès indispensable.
Mais cette « vie normale », si elle est au service d’une économie de prédation détruisant ressources et humains, est un état de guerre, dont le covid est une conséquence ! Les fermeture abusive pour ce second confinement des commerces de proximité, obligent à demander des aides publiques. Ceci aggrave la dette des états et justifiera des politiques d’austérité amenant de nouvelles crise sanitaires et sociales…. Cette guerre là, elle existe depuis bien longtemps au profit de puissants ( d’argent) qui croient pouvoir s’extraire de l’humanité et de la nature. Les réalités du changements climatique et de la crise énergétique les rattrapera aussi s’ils persistent à entraver la transition, non vers le numérique, mais vers une économie décarbonnée.
Alors pour sortir au plus vite de cet état de guerre passons dans tous les domaines à l’économie de contribution. Chaque ressource, y compris humaine, y est soignée et enrichie par les échanges. L’agriculture paysanne est intrinsèquement dans cette économie vertueuse, pour peu que l’entraide locale soit de mise, que les relais permettent à chacun d’avoir son état d’équilibre et de santé. Les fermes, commerces, entreprises oeuvrant pour la résilience des territoire ,et non sous le spectre de la concurrence, sont sources de santé et de revenu pour une société inclusive où chacun contribue au bien commun. Alors cultivons les structures où l’humain expérimente la coopération, l’inclusion, l’entente avec un tiers, la reconnexion avec la nature, construisons de la paix dès que possible!
UN peu dur les vœux cette année, obligation d’inventer, d’innover, de créer et sans image, j’vous laisse regarder autour de vous ou… sous vos paupières si besoin et faire le choix de vivre !
Et, en fertilisant je vous invite à découvrir CAMPAGNES SOLIDAIRES (http://confederationpaysanne.fr/campagnes_solidaires.php?dernier=1), Terre à Terre, Terre à Ciel car se pencher sur la terre avec joie chaque jour c’est qu’on y voit le ciel et pourquoi pas Terre à Cheval de ci de là, un p’tit grain de folie, un élan partagé, une fougue apprivoisée et contagieuse, évidemment en soignant au petit jour et sous clair de lune, UN vivant quotidien !
Et puis le dernier arrivé au débourrage, bel espagnol de 5 ans, se nomme FREEDOM!
Au très grand plaisir de vous voir! Prenez soin de vous et de nos libertés!